Ce lundi 15 avril 2024, le Président de Transition, Chef de l’État , le général Brice Clotaire Oligui Nguema, a pris part à la séance de demande d’attestation du Numéro d’Identification Personnel (NIP) de plusieurs compatriotes, sur le site de la Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI). Le ministre de tutelle, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hermann Immongault a aussi assisté à la séance.

La visite du général Brice Clotaire Oligui Nguema à la ferme agricole de Ntoum, ce lundi 15 avril 2024 met en lumière les profonds problèmes qui gangrènent la Société de transformation agricole et de développement rural (Sotrader). Cette entreprise, naguère prometteuse, est aujourd'hui au bord du gouffre, symbolisant par là-même les maux qui affectent la société gabonaise.

Les débats se poursuivent activement à Angondjé. Des diplomates accrédités dans notre pays ont visité les installations du DNI, ce lundi 15 avril 2024. Cette visite a permis aux ambassadeurs d’échanger avec les membres des différentes commissions et sous-commissions.

Marcel Abéké (Pétrole), Adrien Nguema Mba (Travail et Lutte contre le chômage), Arcadie Svetlana Minguengui Ndomba épouse Nzoma (Environnement, Climat et Conflit Homme-Faune) et François Mbongo Rafemo Bourdette (Industrie) viennent de séjourner à Port-Gentil où ils ont rencontré successivement les partenaires sociaux, les différents intervenants sur les sites, notamment les prestataires de services et les entreprises de mise à disposition de personnels ainsi que les opérateurs économiques du secteur pétrolier. Cette mission, qui arrive au lendemain de l'incendie survenu le 20 mars dernier sur la plateforme Becuna de l’opérateur pétrolier Perenco, devait permettre aux membres du gouvernement de comprendre la situation concernant les relations de travail et le fonctionnement des différentes entreprises. Le ministre du Pétrole a indiqué qu’il était également nécessaire de rassurer les partenaires sociaux quant à l'engagement du gouvernement face à certaines circonstances.

Du 7 avril au 3 juillet 2024, le Rwanda les 30 ans post-guerre civile qui a vu l’extermination de plusieurs centaines de milliers de Tutsi, connu sous le nom de Kwibuka. Cette commémoration est d'une importance capitale non seulement pour le Rwanda, mais aussi pour le Mali et l'Afrique entière. A déclaré un responsable de la communauté rwandaise au Mali, le samedi 13 avril dernier.

Ainsi souhaite le défenseur acharné des droits humains en milieu carcéral. Le président de L’association de SOS Prisonniers Gabon (SPG) estime que « L’administration pénitentiaire n’a pas pour unique mission la garde des détenus. Elle doit aussi préparer leur réinsertion sociale et leur éviter de récidiver une fois de retour dans les communautés ». Lecture ! 

Les partis politiques et les Organisations de la société civile, signataires de la déclaration du 31 mars 2024, ont condamné avec la plus grande fermeté la décision des autorités maliennes sur la suspension de leurs activités. Ils qualifient cette décision de « violation grave des libertés démocratiques » et d'atteinte sans précédent aux acquis démocratiques du Mali.

Dans un communiqué publié le jeudi 11 avril 2024, la Maison de la Presse qualifie cette décision de « sans fondement juridique » et appelle l'ensemble des médias maliens à « ne pas se soumettre aux injonctions de la HAC ».

Dans mes pérégrinations, missions et déplacements de par le monde, de longues heures d’avion, des nuits d’insomnie. Moments nourris par le silence de la solitude, ferment du regard sur soi, ils laissaient place à l’écriture notamment pour imprimer et exprimer mes émotions propres. 

Le Conseil des ministres du mercredi 10 avril 2024, sous la présidence du colonel Assimi Goïta, a adopté un projet de décret portant suspension des activités des formations et des associations politiques.