Sécurité aérienne : une constante préoccupation pour GSEZ/ARISE

Par Brandy MAMBOUNDOU / 18 oct 2021 / 0 commentaire(s)
Igor Simard face à la presse

Jeudi dernier, à l’occasion de la journée de la sécurité aérienne, le gestionnaire actuel de l’aéroport de Libreville a confirmé sa volonté d’offrir aux usagers « un niveau de sécurité optimal pour réduire le taux d’accident ».

Plus que des mots, c’est d’abord un comportement au quotidien sur la plateforme aéroportuaire de Libreville qui a obtenu la certification d’aérodrome ou encore la certification sanitaire AHA. D’autant plus que depuis trois ans, GSEZ Airport en fait son cheval de bataille. La sécurité, la sécurité encore et toujours ! Profitant de la journée de la sécurité aérienne du 14 octobre dernier organisée sous le thème : « dommage causé par un corps étranger/débris (Foreign Object Debris, FOD) », le gestionnaire de l’aéroport de Libreville a confirmé ce défi permanent.

Aussi, pour Igor Simar, le directeur de GSEZ Airport au cours de son allocation de circonstance, le choix du thème de cette année est d’une importance capitale. Pour mémoire, et comme si c’était hier, à l’aéroport de Paris, le mythique « Concorde » de la compagnie Air France s’écrasait le 25 juillet 2000, quelques secondes à peine après son décollage. A l’origine de cette catastrophe aérienne, la lamelle perdue par un avion qui a fait éclater un pneu du supersonique.

Une photo de famille des responsables de l'aéroport de Libreville.

D’où tout l’intérêt de cette problématique, comme va le souligner Igor Simar : « d’abord, il s’agit d’adopter une approche inclusive impliquant toutes les parties prenantes internes et externes dont les activités ont un impact direct ou indirect sur la sécurité, occasion pour chaque acteur de se fixer des objectifs internes afin de contribuer aux efforts généraux de l’aéroport dans le maintien du niveau de sécurité optimal pour réduire le taux d’accident / incident sur la plateforme ; et, d’autre part, promouvoir et améliorer notre culture de sécurité en se partageant les expériences et connaissances ». Tout est dit ou presque.

Comme on le voit, il n’y a aucune place à l’improvisation pour sauver des vies. « Car, soutient le directeur de GSEZ Airport, la sécurité aérienne ne s’improvise pas, elle s’apprend, elle s’applique et implique des personnes. Il est donc indispensable que tous les acteurs de la chaîne du transport aérien s’impliquent de manière à réduire le nombre d’incidents et accidents ».

Pour GSEZ/ARISE, la sécurité aérienne est érigée au rang de priorité absolue.

Brandy Mamboundou

Article du 18 octobre 2021 - 12:36pm
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