Le mardi 08 dernier, en marge de la 27e conférence des parties à la convention des nations-unies, qui se tient en Egypte depuis quelques jours, la princesse Hassana du Royaume du Maroc, a reçu la ministre de l'environnement de République Démocratique du Congo et sa délégation. La princesse Hassana  continue son combat pour un environnement encore meilleur dans les jours, mois et années à venir.

Chaque pays essaie de lutter à sa manière contre le réchauffement climatique, qui ne cesse de prendre de l’ampleur au fil des années. Dans ce combat effréné, le pays du roi Mohammed VI n’est pas en reste. Ce pays dont la chaleur atteint souvent des niveaux inquiétants. En effet, la princesse Lalla Hassana, sœur de l'actuel Roi du Maroc, par ailleurs ambassadrice de bonne volonté pour le comité climat du bassin du Congo, a reçu une forte délégation de la République congolaise.

Au cours de cette rencontre avec ses hôtes, la fille du Roi Hassan II n’a pas manqué de réitérer son engagement, quant à la volonté de son pays à prendre une part active dans ledit combat. « En tant que partenaire fondateur et en particulier en tant que membre de l’Afrique solitaire avec la région, le royaume du Maroc affirme son plein engagement à contribuer à la réalisation des objectifs convenus au premier sommet de Brazzaville et à la mise en œuvre sur les étapes pratiques définies depuis lors », a-t-elle souligné. Avant d’ajouter que le Maroc est fermement engagé, au plus haut niveau, à promouvoir le travail des deux autres comités africains du climat.

Parmi les invités de la princesse, on compte, côté congolais, Arlette Soudan-Nuno, ministre de l’Environnement et du développement durable de la République du Congo, André Frédérick Vadali, conseiller du ministre et Florentine Mabein, directrice générale en charge de la gestion du bassin du Congo. Côté Marocain, la princesse était assistée de Leïla Benali, ministre du Transit spatial et du développement durable, Ahmed Al-Tazi, ambassadeur du Maroc en Egypte et Nozha Alawi, Secrétaire général de la Fondation Mohammed VI pour la Protection sur l’environnement.

Tout en étant optimiste quant à la volonté du Maroc et bien d'autres pays de vouloir réduire les effets du réchauffement climatique, il reste maintenant à savoir si tout cela aura un effet positif. Car, jusqu’ici, les efforts fournis pour réduire les gaz à effets de serre n'ont encore connu des résultats satisfaisants.

Vichanie Mamboundou