Juste quelques jours après le lancement officiel des assises contre la vie chère que les participants réclament déjà leurs « perdiems». 

« Pendant plus de 3 jours , nous avons préparé des ateliers, malheureusement, jusqu'à aujourd'hui, nous n’avons pas des perdiems. Nous ne sommes pas venus travailler juste pour leur faire de beaux yeux. On ne peut pas nous interpeller juste pour le plaisir. C’est pourquoi, dès lors que le chef du gouvernement a fini son allocution de la fin des assises, nous avons commencé à dénoncer cette situation », a indiqué Guy Bertrand Ntoutoume, un panéliste visiblement très remonté. 

A côté des réclamations, ils soulignent tout de même le fait que les recommandations soient louables. Ils interpellent désormais le président de la République. « De la même manière que les partis politiques ont été satisfaits, il faudrait que l’ensemble des participants aux 5 ateliers des assises contre la vie chère le soient à leur tour » a-t-il conclu.

Elzo Mvoula