Le dimanche 16 juillet dernier, Alexandre Barro Chambrier, candidat à la présidentielle d’août prochain, a organisé un meeting non loin du carrefour Cocobeatch, dans le chef-lieu du département du Komo-Mondah dans la province de l’Estuaire, située à 38 km de Libreville. Pour prévenir tout hold-up électoral, il a demandé à la population de veiller au bon déroulement des élections sur toute l’étendue du territoire.

Les candidats aux multiples élections ont officialisé la course au changement des dirigeants, en accomplissant les différentes étapes. De la visite médicale au paiement de la caution au trésor public, le tout couronner par le dépôt les dossiers de candidature au centre Gabonais des élections (CGE). Cela a été le cas pour Alexandre Barro Chambrier et bien d’autres acteurs de la politique.

En effet, au cours d’une rencontre citoyenne avec les populations de Ntoum, l’ancien fonctionnaire du Fonds monétaire international (FMI) a appelé le peuple gabonais tout entier à redoubler de vigilance pour éviter toute tentative de fraude.

Aussi, saisissant l’occasion, il a souligné les nombreuses réalisations qu’il compte mettre en œuvre, si le peuple lui accorde ses suffrages. Il promet de régler entre autres le problèmes de logements, le foncier qui ne cesse de faire couler encre et salive, la problématique de l’immigration, sans pourtant être xénophobe. À cette liste s’ajoute l’arrimage de la pension retraite au nouveau système de rémunération pour mettre une fin à la misère des anciens travailleurs qui, aujourd’hui, semblent tirer le diable par la queue.

Elzo Mvoula