Le jeudi 08 décembre 2022, la journée mondiale du climat a été célébrée à travers la planète. Dans cette lutte effrénée, le Gabon n’est pas en reste. Pour Lee White, ministre de l’Environnement, l’heure serait à la prise des décisions plus que jamais nécessaires pour éviter la planète terre de voler en éclat avec les catastrophes naturelles qui sont ressenties depuis quelques temps. L’heure est grave.

Il faut agir. En effet, il ne se passe plus une semaine sans que l'on ne parle du réchauffement climatique et des conséquences qu'il fait peser sur l'avenir de la planète. Il est vrai que la situation que vivent les peuples actuellement est grave et que les quelques mesures prises, ici et là, ne semblent pas résoudre le problème. C’est devant cette situation que le Professeur Lee White, ministre de l’Environnement, a profité de l’occasion pour interpeller plus d’un à ce sujet.

« La température terrestre et celle des océans ne cesse de croître. Les calottes glaciaires fondent, le niveau de la mer augmente, les températures sont de plus en plus extrêmes. En conséquence, les catastrophes naturelles se multiplient. Nous pouvons tous agir et contribuer à sauver la planète en adoptant des gestes simples au quotidien : privilégier le recyclage et diminuer la consommation d'eau et d'électricité ». A-t-il fait savoir, certainement très inquiet de la dangerosité de la situation présente.

Ce qui change aujourd’hui, c’est que la puissance d’action de l’homme s’est considérablement accrue tout au long du siècle dernier. Ne serait-ce que par l'augmentation de la population, qui s’élève aujourd’hui à plus de 7 milliards d’habitants. Au rythme où les exploitations des richesses de la terre sont faites, il en faudrait au moins 3 pour espérer une survie longue. Les conditions de vie des futures générations dépendent des actions de la génération actuelle. Espérons que le message du «Blanc » sera entendu.

Elzo Mvoula