Depuis le 08 juin dernier, le leader de Gabon Nouveau (GN) et candidat à la présidentielle est en visite dans le Woleu-Ntem. À Mitzic, l’homme de Dieu à promis une batterie d’amélioration aux populations, souvent laissées pour compte par les pouvoirs.

Ce n’est qu’un secret de polichinelle. Depuis belle lurette, la province du Woleu-Ntem fait partie des localités jetés aux oubliettes par les pouvoirs publics. Les maux les plus récurrents qui minent cette partie du Gabon sont multiples : absence de routes bitumées, écoles, chômage des jeunes et bien entendu, l’éternel problème de santé. En tournée dans la province depuis le 8 juin dernier, Mike Jocktane entend se pencher sur le quotidien de ses compatriotes.

Au sujet des routes, il promet de faire mieux que ceux qui dirigent actuellement.  « Ensemble, nous devons faire face aux problèmes persistant de nos infrastructures, notamment notre réseau routier qui nous isole du reste du pays. Nous devons œuvrer pour la réhabilitation de nos routes, afin de garantir des conditions de déplacement sûres et fluides pour tous les citoyens de la ville de Mitzic, qui est l’entrée principale de la province de Woleu-Ntem », a-souligné Mike Jocktane. Avant de s’engager à promouvoir l’entrepreneuriat local en attirant des investisseurs  et créer un environnement favorable à la croissance économique.

L’école qui est un élément clé de développement d’un pays n’est pas en marge dans la vision de l’ancien conseiller d’Omar Bongo. « Oui, je suis conscient du manque de structures scolaires adéquates à Mitzic. Et mon programme de transformation sociale s’inscrit dans l’investissement de l’éducation en construisant de nouvelles écoles, en améliorant les infrastructures existantes et en offrant des programmes éducatifs de qualité ». Car, dit-il, chaque enfant devrait mériter d’une éducation solide afin qu’il puisse réaliser leur potentiel.

Fort de ce qui précède, il invite ces derniers à faire le bon choix au moment venu dans la mesure où, sans un vote sérieux, rien de tout cela ne pourra être possible.

Elzo Mvoula