Des trous, des ornières, des mares et des fossés à n’en plus finir. A force de saupoudrage, la terre et le gravier fin jetés sur les routes du pays, ne tiennent que l’instant des promesses préélectorales et des proclamations d'intention du gouvernement émergeant pour 2025.

Pour les nombreux usagers de l’axe routier Ebel-Abanga/Ndjolé, le calvaire revient avec la fréquence des pluies. Les accidents redeviennent fréquents et les bourbiers légion. Sur moins d’une quarantaine de kilomètres, Bounda-Balonzi peine à régler le problème.
Se disant, pourquoi pas, que si vers Iboundji, qui est aussi au Gabon, c’est la croix et la bannière, les privilégiés à côté de la capitale, doivent aussi déguster. D’autant plus qu’ils ne votent pas toujours
bien aux présidentielles. Fimbu ! Comme diraient les Congolais. Le fouet… traduirait Nzafe Eyeghe. On va encore faire comment. Il faut supporter… Mais jusques à quand ?

Dess Bombe