Le collectif des anciens apprenants de l’Institut national de formation d’action sanitaire et social (INFASS) de la promotion 2021 a exprimé son mécontentement face au silence de la tutelle concernant leur situation d’insertion professionnelle.

Le ministre de l’Économie et des Participations, Mays Mouissi, a présidé ce mardi 20 février 2024, dans un hôtel de la place, la cérémonie de lancement de la 1ʳᵉ édition du Programme de renforcement des capacités dédié aux dirigeants des PME de l’ensemble des pays membres du Réseau International des Agences Francophones de Promotion des Investissements (RIAFPI).

Le 20 février 2024, Luc Oyoubi, Secrétaire général par intérim du Parti démocratique gabonais (PDG), a présidé une réunion du Secrétariat exécutif. L’organisation des assises d’autocritique et de la refondation, prévues pour le 12 mars, était au cœur des discussions, ainsi que la gestion du personnel permanent et les perspectives d’avenir du parti.

Marcel Abéké, a conduit une délégation à Riyad, en Arabie Saoudite, pour participer à deux événements importants sur l’énergie, les 20 et 21 février 2024.

Loin d’être un blâme, le Président du parti pour les 7 Merveilles du peuple gabonais (7MP) donne l’alerte par rapport aux dérives observées depuis l’acte historique et héroïque des militaires du 30 août dernier. Ce député de la Transition, originaire de la Sébé-Brikolo, secoue ainsi le cocotier pour amener les uns et les autres à prendre conscience des défis collectifs à relever pour la réussite de la Transition. Car, dit-il avec gravité « en cinq mois seulement, il y a déjà trop de silences complices, d’injustices, d’erreurs de casting et de choix politiques inappropriés ». Pas que ! Au reste, poursuit-il « une très large frange de la population gabonaise nous fait régulièrement savoir que les profonds changements attendus, à propos du respect de l’Etat de droit, du style de management, du respect de la volonté et de la souveraineté du peuple, tardent toujours à venir ». Du coup, il appartient donc au Général-Président - contrairement à son prédécesseur Ali Bongo, bouché à l’émeri – d’opérer « une rectification chirurgicale » de l’Opération Dignité à travers des décisions frappées du coin de l’équité dans tous les domaines. Dans l’entretien ci-dessous, ce soutien indéfectible de Jean Ping émet des propositions susceptibles d’apporter « la justice, la paix et la joie » au sein de la population. Lecture !

JEUDI 22 FÉVRIER 2024

10 H 00

Sortie du corps de CASEPGA, exposition et veillée au domicile du couple OTOUNGA  OSSIBADJOUO  Mathias*

 15 H 00

Début des hommages 

Parents, amis et connaissances

Veillée 

VENDREDI 23 février 2024 

07 H 00

 Départ pour la base aérienne 

 09 H 30  décollage 

Le Tribunal de Grande Instance de la Commune III de Bamako a déclaré irrecevable la plainte d'Abdou Mallé, ancien Secrétaire général du comité exécutif national du Syndicat national de l’enseignement supérieur (SNESUP), contre le bureau dirigé par Dr Alou Diarra. Cette décision conforte la légitimité du bureau issu du congrès extraordinaire du 15 octobre 2022 et met fin à une tentative de division syndicale.

La Convergence pour le développement du Mali (CODEM) est secouée par des dissensions internes après la participation du parti à une conférence de presse de la Synergie d'actions pour le Mali (SAM). Cette conférence tenue, le 18 février, a appelé à un rassemblement pour une opposition forte et assumée face aux autorités de la transition en cours.

Les organisateurs de cette grand-messe politique pour la Paix et la Réconciliation Nationale a tenu sa première conférence de presse le mardi 20 février à la Maison de la Presse de Bamako. L'objectif de cette rencontre avait pour objectif de présenter aux médias le processus en cours et de solliciter leur implication dans la réussite de ce dialogue crucial pour l'avenir du Mali.

Il y a des gens qui souffrent. Des gens qui souffrent, non pas parce qu'ils ont commis une faute quelconque, non pas parce qu'ils sont méchants, non pas parce qu'ils sont incapables de travailler, non pas parce qu'ils ne sont pas méritants, mais parce que nous vivons dans un monde où l'on ne tient plus compte des valeurs intrinsèques . Un monde où la justice et l'intégrité sont devenues des vains mots.