Longtemps aux mains de la communauté étrangère, essentiellement des Nigérians, des Camerounais, des Maliens et des Sénégalais, la vente de la friperie semble de plus en plus séduire la jeunesse gabonaise depuis quelque temps.

Contrairement à ce que nous disions, Ali Bongo n’a ordonné aucun paiement de la PPB, en plus d’une indemnité de retard. C’était, tout simplement, un gros poisson d’avril.

Ali Bongo ordonne le paiement, aujourd’hui, de la PPB, en plus d’une indemnité de retard. Visiblement en colère contre les membres du gouvernement qui accablent les agentes des « mamelles de l’Etat », le chef de l’Etat a exigé immédiatement le versement de cette prime aux ayants droit. Laquelle est à l’origine d’une tempête dans les régies financières.

De Magloire Ngambia en passant par Roger Owono Mba ou Jean-Marie Ogandaga, ce portefeuille est devenu à palabres. Si les deux premiers ont connu la case prison de manière formelle, le troisième circule librement mais déjà « en prison » pour la clameur populaire. Tentative d’explication.

Pour s’adapter aux nouvelles mesures gouvernementales visant à endiguer la seconde vague du Covid-19, « La direction générale de UBA Gabon informe son aimable clientèle des horaires d’ouverture et de clôture de ses agences de Libreville et de Port-Gentil ». Désormais, du lundi au vendredi, la banque nigériane ouvrira de 7 h 45 à 14 heures. Le samedi, toutes les agences seront fermées « pour cause de désinfection ».