C’est désormais l’incertitude à la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss) à l’approche des échéances de fin de mois. Les employés vivent avec la peur au ventre. Face à cette situation, et pour certainement mettre la pression à la tutelle, les partenaires sociaux se retrouvent pour décider de la suite.

Bien manger pour préserver sa santé cognitive est une recommandation bien connue et logique. Mais que faut-il manger au juste ? Une nouvelle étude insiste sur l’intérêt des fruits et légumes antioxydants pour prévenir la démence.

La cérémonie à cet effet s’est déroulée dimanche dernier à Libreville. Elle était présidée par Mme Félicité Ongouori Ngoubili, le ministre de la Défense nationale, qui assurait l’intérim du ministre de l’Intérieur. On notait la présence, entre autres, du ministre des Affaires étrangères, Michaël Moussa Adamo, du président de la Commission de la Cemac, Pr Daniel Ona Ondo, du chef du Bureau des Nations Unies pour les Réfugiés au Gabon…

Les enseignants émettent un tel souhait en raison de l’incarcération, depuis trois mois, du président de Dynamique unitaire pour une « escroquerie » supposée. Pis, cet universitaire a été radié des effectifs de la Fonction publique pour « abandon de poste ». Des arguments qui ne passent pas aux yeux de l’opinion nationale et internationale.

Ils réclament, depuis bientôt deux ans leurs bourses d’études. Ces derniers jours, la tension est montée d’un cran. Symbole de cette situation, les affrontements entre ces apprenants et les forces de l’ordre dans la capitale gabonaise.

Même si le gouvernement assure gérer la crise, tout appelant aussi à la vigilance, la présence de la grippe aviaire dans le Komo Mondah inquiète plus d’un. Tant la volaille, en raison de son prix, est consommée par la classe moyenne de ce pays.

Pour tenter un apaisement, le directeur général de la CNSS a invité les membres de cette association à une négociation. Ceux-ci, désormais très radicalisés, ont refusé la tentative d’approche du directeur général.

Rien ne va plus à la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss). C’est désormais un bras de fer entre les anciens travailleurs membres de l’Association nationale des retraités du Gabon (Anareg), une franche des syndicats de la caisse et les responsables de cette administration. 

Les employés de la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss) et de nombreuses associations des retraités civils (secteur privé, parapublic) et militaires du Gabon s’interrogent sur leurs demains. Conséquence des maux qui minent leur maison nourricière. Dès lors, plusieurs associations et syndicats appellent au changement de directeur général. Un mouvement d’humeur pacifique est même prévu pour cette semaine à cet effet.

Au Gabon, l’obtention d’une parcelle lotie relève actuellement d’une véritable gageure. Il n’est plus rare de voir plusieurs personnes se plaindre d’escroquerie en matière de foncier. Les escrocs de tout poil y ont trouvé une terre de prédilection. Une même portion de terre est ainsi malhonnêtement vendue de multiples acheteurs. Aujourd’hui, le Copil Citoyen, membre de la société civile, entend tout étaler au grand jour, principalement toute la « mafia » autour de cette affaire, objet de plusieurs litiges.

Depuis plusieurs années, rien ne va plus au Gabon. Les gouvernants, voulant remodeler la société, navigue à contre-courant des normes établies. Au ministère de l’Éducation nationale, les différentes décisions prises visant l’amélioration de l’école, n’a pour conséquence que de tirer la formation de la jeunesse, futurs cadres du pays, vers le bas. La dernière note d’information émanant de ce département ministériel vient confirmer cette descente aux enfers de notre système éducatif. Au grand dam de certains syndicats dudit secteur.