Cible de rumeurs et accusations en tous genres depuis sa nomination par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, le coordinateur général des affaires présidentielles réagit dans une interview accordée au site Agenceecofin.com. Ce qu’il n a d’ailleurs pas manqué de qualifier de « fake news », « enfantillages »,, « calomnies » et de « bavardage sans intérêt ». En effet, après avoir été accusé d’enrichissement illicite par certains acteurs de la société civile gabonaise, le petit-fils d’Omar Bongo Ondimba a été totalement blanchi par la justice l’an dernier et les rumeurs sur sa prétendue volonté de succéder à son père ne l’ébranlent pas.
Ce jeudi 4 mars, un citoyen sénégalais a perdu la vie dans les affrontements entre les forces de l’ordre et les partisans de l'opposant Ousmane Sonko arrêté et placé en garde à vue mercredi, pour « troubles à l’ordre public ».
Elles sont de tous les combats, elles sont présentes par monts et par vaux et peu importe le climat, elles participent à toutes les manifestations comme du bétail. Et pourtant, lorsque vient l’heure de la distribution des responsabilités dans la République, la femme Pdgiste est ignorée. Les hommes prennent tout ou presque. La preuve.
Le 14 septembre 2017, l’Union européenne a adopté une résolution sur la répression de l’opposition au Gabon et demandait que des sanctions soient prises contre des personnalités du régime de Libreville. Depuis lors, aucune sanction, au point que l’opinion publique gabonaise se demande si le diable n’a pas infesté le cœur des Européens.
40 partis politiques membres du Conseil national de la démocratie (CND) de la majorité et de l’opposition ont appelé, au regard de la persistance des soubresauts actuels dans notre pays, les Gabonais à se parler.
Ainsi parle Me Gey, l’avocat du prévenu, le 1 er mars 2021, à la sortie d’audience où il espérait que son client allait recouvrer la liberté. Malheureusement, la Cour d’appel a confirmé les peines requises en première instance. Non content de cette décision de justice, Zibi a décidé, avec ses avocats, de se pourvoir en cassation.
Son bref passage à la tête du conseil municipal a montré plusieurs choses : l’absence d’éthique chez certains compatriotes, le degré de misère de bon nombre de Gabonais, l’existence de beaucoup d’argent à la mairie de Libreville, le sentiment d’impunité…