À travers une communication du Premier ministre, chef du gouvernement, Rose Christiane Ossouka Raponda, ce mercredi 12 octobre 2022, un léger remaniement gouvernemental a été effectué avec deux principales informations.

Invitée de Consty Eka, la présidente de la Cour constitutionnelle sera face au très célèbre acteur culturel et animateur de Fréquence 2, un Camerounais d’origine et Ivoirien d’adoption, dans une interview exclusive retransmise sur près d’une douzaine de chaînes de télévision internationale dont Gabon Télévision.

Le 10 octobre 2022, Ali Bongo Ondimba, le Président Gabonais en sa qualité de président du Conseil supérieur de la magistrature et Garant des institutions, a présidé ce jour au Palais de justice l’audience solennelle de rentrée judicaire des cours et tribunaux.

Dans un communiqué de presse parvenu à la rédaction de Gabonclic.info, en date du 10 octobre, Réagir, parti de l’opposition, se réjouit de la décision de la Cour constitutionnelle quant à sa requête déposée la semaine dernière au sujet de la « caducité » du bureau du Conseil Gabonais des élections.

Dans une interview accordée à la rédaction de l’Union du 05 octobre 2022, Hervé Patrick Opiangah, le président de l’Union pour la démocratie et l’intégration sociale (Udis) est longuement revenu sur la situation du Gabon dans son ensemble.

Dans un communiqué de presse parvenu à la rédaction de Gabonclic.info le week-end écoulé, le parti pour la Réappropriation, son Indépendance et sa Reconstruction (REAGIR) fait savoir, entre autres, qu’il sera auditionné dans quelques jours par la Cour constitutionnelle.

À observer le nouveau secrétaire général du PDG faire le tour du Gabon, tout en se donnant en spectacle, il croit naïvement être le premier à avoir fait « ça ». Erreur, d’autres avant lui ont bénéficié de la même confiance d’Ali Bongo avant de finir…
 

Dans le cadre de la coopération entre le Gabon et le Royaume du Maroc, Guy Patrick Obiang Ndong, le ministre

La position de l’actuelle équipe du CGE continue de faire couler encre et salives au sein de l’opposition gabonaise. En effet, il y a quelques jours, la plateforme « Gabon d’Abord » a organisé une conférence de presse à travers laquelle elle a fustigé « l’illégalité » de ce bureau. Cette fois-ci, le tour est revenu au parti Réagir de monter au créneau en saisissant directement la Cour constitutionnelle.

La ministre de la Justice ne devrait pas laisser l’image du Gabon être écornée par des matons dont le respect de la vie est le cadet des soucis. Demain, peu importe l’angle d’observation, sa responsabilité personnelle sera engagée face aux actes de barbarie perpétrés par le personnel placé sous son autorité contre les compatriotes.